25 chefs et cheftaines en formation complète, notamment dans les domaines de la pédagogie, la psychologie de l’enfant/de l’adolescent, la réglementation et donc la sécurité des enfants en vue d’encadrer des scouts en tant qu’assistant puis chef d’unité.

Nous avons passé huit jours à Saint-Quentin-sur-Indrois. Au total, vingt-cinq scouts d’Europe de toute la France, de Valenciennes à Perpignan, en Camp École Préparatoire de niveau 1 (CEP 1), encadrés par cinq chefs tous aussi gentils et géniaux les uns que les autres.

Le but du CEP 1 est d’apprendre les bases du scoutisme chez les louveteaux/louvettes (rôle de l’Akela et de l’assistant, préparation de sorties, de week-ends et du camp, révision ou apprentissage d’activités précises…). Tous ces chefs réunis, qui ont entre 16 et 23 ans, vivent cette semaine de Camp Ecole comme des louveteaux/louvettes : construction de bancs et de tables pour les repas, travail et vie en sizaine, rassemblements, temps de prières et veillées, sans oublier l’heure « route », propre à des chefs et assistants d’unité.

En nous accueillant à Saint-Quentin-sur-Indrois, les frères de la Communauté Saint-Jean nous ont permis de dormir au contact de la nature, dans un campement composé des tentes des chefs, des tentes des jeunes filles et de celles des jeunes garçons. Mais aussi, grâce aux frères, nous avons reçu une formation spirituelle quotidienne, d’abord en suivant la messe chaque matin, et ensuite en recevant un précieux enseignement catéchétique de frère Jean-Paul pour nous préparer à une méditation (heure route).

TEMOIGNAGE D’UN PARTICIPANT

Pour moi, cette semaine de CEP fut l’occasion de totalement bouleverser mon quotidien de prépa en rencontrant des personnes fantastiques partageant beaucoup de valeurs et un sens élevé de l’engagement et apportant des expériences totalement différentes. Les masques sont donc très vite tombés et j’ai pu retrouver la fraternité et l’esprit propre à l’âge ainé.

J’ai aussi été particulièrement touché par cette opportunité de prendre un vrai temps de pause spirituelle puisque nos journées étaient rythmées par la prière. J’ai ainsi pu prendre du temps pour grandir dans ma foi à travers la messe quotidienne, les chants splendides, les heures routes, les topos du frère, les conversations édifiantes et une très belle adoration.

Nous avons passé un bon moment entre chefs, et l’ambiance générale était excellente, jusqu’au sein de ma sizaine. Vivre huit jours au contact de la nature a été pour moi une saine coupure du monde extérieur. Ce CEP m’a si bien nourri que j’ai décidé de devenir Akela de ma meute de vingt-quatre loups (j’étais jusqu’alors assistant).

Malo, Akela de la meute 5^e Tours.

Un week-end à la rencontre des personnes isolées pour Noël

Que la naissance de Jésus nous incite à aller vers les personnes seules

Avec 10 filles nous avons participé à la mission de Noël avec la Sainte famille les 21 et 22 décembre dernier chez les frères à la Maison Saint-Jean.

Le samedi nous avons fait des petits gâteaux et des cartes au dos desquelles étaient inscrits les horaires des offices des différentes messes de Noël. Nous avons aussi appris et répéter des chants pour l’animation de la messe du dimanche où nous avons eu la surprise d’être rejointes et soutenues par d’autres excellents choristes.

Le dimanche après-midi une équipe est partie à Reignac et une autre à Saint-Quentin-sur-Indrois. Nous étions habillés en Sainte famille pour faire du porte à porte et offrir nos gâteaux et nos cartes, ainsi que visiter des personnes isolées.

Ce weekend nous a permis de passer de bons moments auprès de Dieu et de nos amis tout en attendant la naissance de Jésus à Noël. Ces moments resteront inoubliables pour nous ainsi que pour les personnes âgées visitées.

Maylis et Mélia

Joyeux Noël ! 🙏🙂

Adorer le Seigneur en famille

Ce dimanche 15 décembre matin nous nous préparons à vivre un moment d’amitié avec le Christ, de partage avec d’autres familles et d’échanges avec les frères de Saint-Jean ce qui va bien ensemble !

Accueil chaleureux par les frères avec un café tout en faisant connaissance avec les autres familles, puis direction l’église du village pour la messe en chantant des « Ave ».

L’heure du déjeuner sonne et nous partageons nos plats lors de joyeux échanges. Après avoir rempli les estomacs, ce sont nos âmes qui sont nourries par un frère qui nous fait explorer le Notre Père à la lumière de l’Espérance. Pendant ce temps les enfants ont leur moment entre eux avec des frères et des jeunes pour des activités ludiques et spirituelles.

Point d´orgue de la journée, les enfants nous rejoignent à la chapelle où nous pouvons, ensemble, adorer le Seigneur. Chaque famille avance devant le Saint Sacrement pour être bénie : quelle grâce !

Nous concluons cette belle journée en famille par un goûter avant de rentrer chez nous, revigorés et affermis dans notre foi, prêts à affronter notre quotidien…

Laurent

27 kilomètres de Saint Quentin-sur-Indrois à Loches et retour, en passant par les bois, la nuit.

Un parcours en forme d’étoile à la rencontre de Jésus

C’est lors de la fraîche nuit d’hiver du 13 au 14 décembre que nous nous sommes retrouvés autour de trois torches. Une grosse dizaine de pèlerins d’une moyenne d’âge de 25 ans, venant de la France entière, réunis pour un seul but : former une étoile de Noël à pied, celle qui a guidé les Rois Mages pour rencontrer Jésus.

Habitués ou non de la maison Saint-Jean, habillés de gros manteaux, nous étions prêts pour cette aventure hors du commun. A 18h30, après une bénédiction du frère François, nous avons pris les torches puis nous sommes partis en groupe dans la forêt. Nous suivions l’étoile filante sous nos pas, animés par la joie d’être dans les pas du Seigneur. Montées et descentes se succèdent sans relâche, imprévus et péripéties aussi. Dans l’épais brouillard de cette nuit-là, nos discussions se faisaient à voix basses, rythmées par les éclats de rire des uns et des autres. A 6h08 précisément, nous arrivions au terme de ce pèlerinage.

Un temps de préparation à Noël

Wandrille, 15 ans, nous raconte : « L’ambiance était chouette, c’était un temps spécial pour nous préparer à Noël et pour apprendre à se connaître autrement. En arrivant à la fin du pélé, nous étions nostalgiques de ce moment hors-temps que nous avions vécu ensemble. Ces instants nous permettent de nous concentrer sur Noël, sans les bruits et les distractions qu’apportent le jour. La messe qui coupe le pèlerinage nous met tous dans une ambiance de cœur à cœur entre soi et l’Enfant Jésus ».

Pour conclure, nous pouvons dire que ce temps nous a permis de déconnecter un moment avec le quotidien, et qu’à l’approche de Noël, ce fut bénéfique pour chacun de se retrouver guidés par seulement des torches, de n’avoir rien à penser d’autre que soi et Dieu. Rendez-vous l’année prochaine !

Blanche et Hombeline

Un quarantaine de jeunes Camerounais se retrouvent à la Maison Saint-Jean

2024 est une année assez chaotique, parsemée d’épreuves pour notre foi chrétienne. Aussi, il est important de se recentrer sur sa foi notamment pour bien se préparer à accueillir la venue du Seigneur dans un esprit et un corps sains. C’est dans cette quête de pardon, de réconciliation et d’harmonie avec Dieu que nous avons décidé de faire, une fois de plus, une retraite spirituelle, qui est à la fois, un moment de partage, de rencontres mais aussi de reconnexion avec soi.

Cette retraite est à l’initiative du frère Jean-Pierre, prieur général du prieuré Saint-Jean de Simbock au Cameroun. Depuis environ une dizaine d’année, il organise des retraites spirituelles pour les jeunes et depuis 2 ans il propose des retraites en France pour réunir de jeunes Africains autour de leur foi commune en Jésus.

Dieu nous a pardonné tous nos péchés ; les grands péchés comme les petits

Ainsi, notre session s’est tenue du 22 au 24 novembre 2024 à la Maison Saint-Jean de Saint Quentin-sur-Indrois. Ce lieu n’est pas nouveau pour nous car c’est la 4^ème fois que nous y séjournons. En ce qui me concerne, la première fois que j’ai participé, j’ai ressenti une légèreté de mon âme car c’est un endroit tellement apaisant et surtout, les frères ont toujours répondu présent pour nous accompagner et nous guider.

Cette retraite changeait des précédentes par le nombre important de participants. En effet, nous étions 45 chrétiens, tous Camerounais, étudiants, jeunes actifs, résidants pour la majorité en Ile-de-France.

• L’objectif premier de ce week-end tient dans son thème, à savoir « Dieu nous a pardonné tous nos péchés ; les grands péchés comme les petits »;
• Le 2^ème était de savoir si nous avons pardonné Dieu, lorsque nous pensons parfois qu’il nous a abandonné lors de nos moments de difficulté et de souffrance;
•  Enfin, le 3^ème objectif était de cultiver l’Espérance dans nos cœurs et dans nos vies quotidiennes.

Ces objectifs ont été parfaitement illustrés, notamment lors de notre premier enseignement dispensé par le Père François, prieur de la Communauté de la Maison Saint-Jean de Saint Quintin-sur-Indrois. Nous avons beaucoup appris sur les « 5 paires » :

• La satisfaction et la patience ;
• Le maintenant et l’attente ;
• La jouissance et la difficulté ;
• La simplicité et l’exigence ;
• Le vice et la vertu.

Et surtout l’importance de l’Espérance évoquée dans les écritures, notamment dans la Première lettre de Saint Paul apôtre aux Corinthiens chapitre 13.

Nous n’avons pas fait que suivre ces enseignements, très riches ! Nous avons aussi partagé de bons moments conviviaux lors d’une promenade organisée par le frère, toujours souriant, Benoît-Kisito, qui nous a accompagné tout au long de ces riches journées.

Nous avons aussi loué, prié et adoré le Seigneur.

Ne pas rater l’essentiel…

A chaque fin de retraite, on rentre chez soi le cœur plus léger et plus grand. Cette rencontre a été une leçon d’humilité et de satisfaction envers les choses simples de la vie. Nous espérons que ces sessions deviendront une tradition, un rendez-vous biannuel, qui attirera d’années en années, toujours plus de jeunes chrétiens de toute la France et de toutes nationalités. Car : « Quand on est jeunes, on vit, on vit trop vite, on veut tout trop vite mais on oublie qu’en voulant trop vite vivre, on passe à côté de l’essentiel. »

Nous devons toujours garder à l’esprit « Ora et Labora^* » et « Si ma vie m’éloigne de toi, ramène moi Seigneur ».

* Ora et Labora : Prie et Travaille

Témoignage d’Arlette

Un week-end jardinage s’est déroulé à la Maison Saint-Jean du 8 au 10 novembre

La Maison Saint-Jean organise un week-end jardinage par saison. Le week-end « automne », du 8 au 10 novembre dernier, a permis de se retrouver pour retrouver la terre, la retourner, y semer ce qui est bon, et cela dans le jardin et dans son coeur !

Ce séjour a été une vraie grâce !

Nourrir sa terre…

Je suis touchée par les personnes que j’ai rencontrées et les bons moments que nous avons partagés ensemble (jardinage, cuisine, prière, jeux, balades, etc..). Dans ce lieu où Dieu se rend particulièrement présent, j’ai trouvé cela très beau de prendre soin de la création.

J’ai appris que sans vers de terre, il serait impossible de cultiver. C’est passionnant de constater comment un élément participe à un tout plus grand que lui et que sans lui, cela deviendrait plus difficile ! Le frère François, nous a enseigné sur le thème « nourrir sa terre » au sens spirituel. Il a souligné l’importance de connaître « sa terre », de quoi a-t-elle besoin ?

… pour sauvegarder la Maison commune

La dynamique du week-end m’a fait penser à Laudato Si (Loué sois-tu) du Pape François qui appelle à repenser les interactions entre l’être humain, la société et l’environnement. Prendre soin de la maison commune pour le bien de tous !

Merci à Sylvie, à Louis, aux frères, à chacune des personnes rencontrées lors de week-end.

Je trouve que ce potager apporte tellement de choses : il nourrit avec des légumes délicieux, il fait se rencontrer, il fait du bien aux corps et à l’esprit, il nous pousse à apprendre, il nous enseigne patience/humilité/émerveillement/gratitude/ respect du vivant.

Témoignage de Sophie

Prochains WE jardinage

• WE jardinage d’hiver : du 7 au 9 mars 2025 ;
• WE jardinage de printemps : du 9 au 11 mai 2025 ;
• WE jardinage d’été : du 11 au 15 août 2025.

Le groupe Claire de Castelbajac s’est réuni lors des vacances de la Toussaint 2024

Le camp théâtre Claire de Castelbajac (pour des jeunes filles de 12 à 17 ans) a notamment préparé et présenté une pièce sur Pier Giorgio Frassati lors de la veillée Tous Saints du 31 octobre. Cette pièce était proposée aux enfants venus déguisés en saint pour l’occasion.

Un hommage à l’homme des 8 béatitudes

Pier Giorgio est né à Turin en 1901. Très vite, il se met au service de la foi et de la charité, secourant les pauvres des taudis de la ville sans que sa famille ne s’en aperçoive. Lors de l’une de ses visites aux pauvres, il contracte la poliomyélite et meurt au bout d’une semaine le 4 juillet 1925, à l’âge 24 ans.

Lors de son enterrement, de nombreuses personnes pauvres ayant bénéficié de son aide sont présentes. Ses proches se rendent alors compte de son activité et très vite, sa personne est particulièrement admirée.

Il est déclaré vénérable en 1987, puis bienheureux en 1990, par le Pape Jean-Paul II. Décrit comme l’ « homme des huit béatitudes ». Les papes Jean-Paul II et Benoît XVI le présentent comme un modèle de sainteté lors des différentes Journées mondiales de la jeunesse. Il sera canonisé en 2025 à l’occasion de l’année jubilaire.

Un camp de joie et de louange

Durant 4 jours, ces 18 jeunes filles ont prié, répété, fait du sport, ri, chanté, découpé des lanternes pour que durant cette veillée l’on vive avec tous les saints la joie du Ciel !

Au programme de cette belle veillée : temps de louange avec les enfants, théâtre, finition des lanternes, procession jusqu’à l’église du village où l’on a eu un temps d’adoration.

Elles remercient Ombeline, Sylvie et les frères qui leur ont permis de vivre ces jours sous le regard du Seigneur.

Les prochains rendez-vous sont fixés aux dates suivantes :

– 22& 23/12 : en mission avec la Sainte famille pour distribuer des crèches et des programmes des offices de Noël ;

– 21, 22 & 23/2 : weekend organisé par des étudiantes sur la féminité ;

– 11, 12 & 13/4 : préparation d’un concert pour des personnes isolées ;

– 7 au 11/7 : retraite Claire de Castelbajac.

Le groupe des jeunes agapetoï qui accompagne ordinairement quelque jeunes porteurs d’un léger handicap mental s’est retrouvé ce weekend à l’occasion d’un pèlerinage à l’abbaye de Fontgombault

Un week-end Pélé de partage et de rencontres…

J’étais content de partir pour ce pèlerinage Agapetos et revoir des personnes présentes au précédent camp d’été.

Après un petit-déjeuner à Saint-Quentin-sur-Indrois, nous avons pris la route pour assister à la messe de 9h30 à l’Église de Fontgombault. Cette messe nous a amené à nous confier à Jésus et à Notre Dame du Bien Mourir, avant le départ du pèlerinage.

A la sortie de la messe, nous avons fait 3 groupes pour 3 parcours de différentes distances et nous avons reçu le livret du pèlerinage avec des intentions de prières.

Au moment du départ, il nous a été demandé de ne pas trop discuter sur le trajet. J’ai apprécié cette attitude de recueillement, et porter les intentions de prières durant la marche. Pendant les 12km de notre parcours, nous avons quand même discuté ! C’était un groupe très familial, entre les jeunes et les plus âgés.

Les chants et le chapelet prié en groupe m’ont porté tout le long de la marche. C’était aussi, pour moi, un moment de méditation et de mise en pratique sur ce qui fait que nous sommes Eglise du Christ, et corps uni de Jésus. Tout le monde n’avançait pas au même rythme dans le groupe, et nous avons eu à faire des choix pour nous orienter sur le trajet.

Je suis content d’avoir passé du temps avec Aymeric, que je connaissais déjà du précédent camp. Nous avons pu discuter un peu et faire plus ample connaissance. Il m’a fait découvrir, entre autres, un groupe de louange que je ne connaissais pas. Frère Jean-Paul n’était jamais très loin. C’était sympa de cheminer tous ensemble.

… sous le regard bienveillant de la Vierge Marie

Dans les moments calmes, j’ai apprécié méditer sur les souffrances de notre époque, les différentes maladies qui touchent les personnes et les familles, mais aussi sur l’accompagnement en fin de vie.

Les paysages de la campagne que nous avons traversés étaient propices à apprécier l’œuvre de Notre Père Eternel. Nous avons longé et parcouru une forêt, des prés, des champs, et autres fermes et habitations…

Nous avons confié, dans nos cœurs, à Notre Dame du Bien Mourir, les situations des personnes malades, vieillissantes et souffrantes. Je ne doute pas qu’elle fera ce qui est bon de faire.

J’aime penser que c’est Jésus qui guérit, qu’Il a porté sa croix pour nous, et qu’Il nous a confié à la Vierge Marie.

Nous avons fait une halte pique-nique à midi pour déjeuner tous ensemble, et une pause goûter vers 17h, avant d’arriver à l’abbaye bénédictine de Fontgombault.

Merci Seigneur.

Cyril

Une trentaine de célibataires se sont retrouvés à la Maison Saint-Jean pour vivre un ressourcement spirituel et amical.

« Merveille que je suis ! »

Ces paroles du psalmiste, rappelées par le père Jean-Baptiste lors de son topo, auront marqué les cœurs ce weekend.

Venus de toute la France, une petite trentaine de célibataires âgés de 30 à 45 ans s’est ressourcée spirituellement et amicalement auprès des frères de la communauté Saint-Jean. Ils y vécurent des moments festifs, joyeux mais aussi de recueillement et d’enseignements.

Un grand jeu au cœur du château leur a permis de briser la glace et de découvrir ce lieu chargé d’histoire. S’en est suivi une visite du château d’Amboise, et plus tard, une soirée festive au coin du feu pour les plus tranquilles, ou bien en danse pour les plus sportifs !

« Oser la rencontre! »

Tout en vivant une belle alternance de moments de partage, tant dans les services que dans les jeux, avec dans l’esprit les réflexions lancées en début de week-end, tous repartent avec des pistes afin de pouvoir pleinement… « oser la rencontre! ».

Breaking news : Quelques coups de cœurs avérés, suite au prochain numéro ! 😉